Global daily news 20.09.2014

***Les travailleurs du transport reprennent leur offensive contre Uber

Les membres de la Fédération internationale des travailleurs du transport (ITF), réunis à Bruxelles, disent être "fatigués" qu'on les catalogue comme "anti innovation" concernant l'application Uber. Ils ont exigé du ministre bruxellois de la Mobilité, Pascal Smet, qu'il agisse contre la société.

Lors de la réunion de la Fédération internationale des travailleurs du transport (ITF) tenue à Bruxelles, ses membres ont fait savoir qu'ils en ont assez d'être taxés d'opposants à la technologie. "Nous sommes en faveur d'une plate-forme électronique, ou application. Mais ce n'est pas le point. Le fait est que Uber partout viole les lois", a déclaré Frank Moreels de l'Union Belge des Ouvriers du Transport.

Pour les travailleurs du transport, la société, qui a son siège social aux États-Unis, ne respecte pas, entre autres, les règles d'assurance ou les contrôles techniques. Ils ont invité les usagers à ne pas se laisser tromper par l'idée qu'Uber est "sexy et bon marché" en attirant leur attention sur les risques que comporte l'application. Ils signalent que l'introduction des nouvelles technologies ne peut pas se faire contre la législation en vigueur et au détriment de la clientèle et des chauffeurs.

Les représentants de quinze syndicats, issus de onze pays, se sont mis d'accord sur comment l'ITF va s'organiser contre l'entreprise technologique. Ils ont fermement demandé au ministre bruxellois de la Mobilité, Pascal Smet, d'agir contre Uber. Le ministre avait annoncé la semaine dernière une augmentation des contrôles visant la société américaine. Il s'agit en effet pour Pascal Smet d'"une concurrence déloyale à l'égard des compagnies de taxi qui pour se conformer aux normes sont confrontées à des coûts importants". Il a aussi rappelé la décision du tribunal de Commerce de Bruxelles d'interdire l'utilisation de l'application. Le ministre n'exclut toutefois pas la possibilité qu'Uber puisse faire partie du système de transport de Bruxelles.

Une nouvelle application, baptisée Smartaxi et financée par l'Union européenne, est en phase de test dans certaines villes d'Europe comme Barcelone, Madrid et Moscou. La commissaire européenne en charge de l'agenda digital, Neelie Kroes, a déclaré que "l'Europe doit être ouverte à l'innovation et aux nouveaux services car ils peuvent faciliter la vie des chauffeurs de taxi et de leurs clients". Elle s'est félicitée de la mise au point de Smartaxi et s'est montrée en faveur de l'autorisation d'Uber. Elle se dit également "scandalisée" par la décision du tribunal bruxellois, et avait qualifié l'ancienne ministre bruxelloise desTransports, Brigitte Grouwels, de "ministre de l'anti-mobilité".

GOOGLE TRANSLATION:

Transport workers resumed their offensive against Uber

Members of the International Transport Workers Federation (ITF) meeting in Brussels say they are "tired" that the catalog as "anti innovation" on Uber application. They demanded of the Brussels Minister of Mobility, Pascal Smet, whether against the company.

reactions (2)

Transport workers resumed their offensive against Uber

Illustrative picture. © Belga

At the meeting of the International Transport Workers Federation (ITF) held in Brussels, its members have said they are tired of being labeled opponents of the technology. "We are in favor of an electronic platform or application. But that's not the point. Uber The fact is that everywhere violates laws," said Frank Moreels of Belgian Transport Workers Union.

For transport workers, the company, which is headquartered in the United States, does not comply, among other things, insurance rules or engineering controls. They urged users not to be fooled by the idea qu'Uber is "sexy and cheap" in drawing attention to the risks involved in application. They report that the introduction of new technologies can not be against the law in force at the expense of customers and drivers.

Representatives of fifteen unions, from eleven countries have agreed on how the ITF will organize against the technology company. They strongly requested the Brussels Minister of Mobility, Pascal Smet, to act against Uber. The Minister announced last week an increase in checks to American society. It is indeed for Pascal Smet of "unfair competition against taxi companies to comply with the standards are facing significant costs." He also recalled the decision of the Commercial Court of Brussels to ban the use of the application. The minister did not rule out the possibility qu'Uber may be part of the transport system in Brussels.

A new application, called Smartaxi and funded by the European Union, is being tested in some European cities such as Barcelona, Madrid and Moscow. The European Commissioner for the Digital Agenda, Neelie Kroes, said that "Europe must be open to innovation and new services as they can make life easier for taxi drivers and their customers." She welcomed the development of Smartaxi and proved for permission to Uber. She also said "outraged" by the decision of the Brussels Court, and had described the former transportation will Brussels Minister Brigitte Grouwels, "Minister of the anti-mobility".

FROM ACTUALITIES DU DROIT BELGE:

***Les transporteurs aiguisent leurs armes contre Uber

La Fédération internationale des travailleurs du transport (ITF) s'est réunie hier à Bruxelles. Ses membres exigent du ministre bruxellois de la Mobilité, Pascal Smet (sp.a), qu'il agisse contre la société Uber.

Luttant contre les pratiques de la société de transport privé, ils ne veulent plus que le public associe leur image à celle d'opposants à la technologie. Ils se déclarent même favorables pour une plate-forme électronique ou une application destinée aux services de transports des personnes.

Mais, pour Frank Moreels de l'Union Belge des Ouvriers du Transport, « ce n'est pas le point. Le fait est que Uber partout viole les lois ». Cette dernière société, dont le siège social se trouve aux Etats-Unis, ne respecte pas, notamment, les règles d'assurance ou les contrôles techniques, estiment les travailleurs du transport. Ces derniers, rapporte Le Vif.be, ajoute que « l'introduction de nouvelles technologies ne peut se faire contre la législation en vigueur et au détriment de la clientèle et des chauffeurs ».

La lutte contre l'entreprise technologique s'organise donc. Les représentants de quinze syndicats, issus de onze pays, sont tombés d'accord sur la façon dont l'ITF s'organisera contre Uber. Les travailleurs du transport demandent fermement au ministre bruxellois de la Mobilité d'agir contre Uber. Demande qui tombe quelque temps après la sortie de Pascal Smet, dénonçant la concurrence déloyale à l'égard des compagnies de taxi, tout en gardant la porte ouverte à la société de service de transport privé.

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- See more at: http://www.actualitesdroitbelge.be/presse/les-transporteurs-aiguisent-leurs-armes-contre-uber#sthash.picyftR3.dpufernment honours their collective agreement obligations and guarantees the wages, conditions and benefits of the hard-working workforce at PNG Power and any other government-owned asset that they intend to privatise.”

Les transporteurs aiguisent leurs armes contre Uber

La Fédération internationale des travailleurs du transport (ITF) s'est réunie hier à Bruxelles. Ses membres exigent du ministre bruxellois de la Mobilité, Pascal Smet (sp.a), qu'il agisse contre la société Uber.

Luttant contre les pratiques de la société de transport privé, ils ne veulent plus que le public associe leur image à celle d'opposants à la technologie. Ils se déclarent même favorables pour une plate-forme électronique ou une application destinée aux services de transports des personnes.

Mais, pour Frank Moreels de l'Union Belge des Ouvriers du Transport, « ce n'est pas le point. Le fait est que Uber partout viole les lois ». Cette dernière société, dont le siège social se trouve aux Etats-Unis, ne respecte pas, notamment, les règles d'assurance ou les contrôles techniques, estiment les travailleurs du transport. Ces derniers, rapporte Le Vif.be, ajoute que « l'introduction de nouvelles technologies ne peut se faire contre la législation en vigueur et au détriment de la clientèle et des chauffeurs ».

La lutte contre l'entreprise technologique s'organise donc. Les représentants de quinze syndicats, issus de onze pays, sont tombés d'accord sur la façon dont l'ITF s'organisera contre Uber. Les travailleurs du transport demandent fermement au ministre bruxellois de la Mobilité d'agir contre Uber. Demande qui tombe quelque temps après la sortie de Pascal Smet, dénonçant la concurrence déloyale à l'égard des compagnies de taxi, tout en gardant la porte ouverte à la société de service de transport privé.

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- See more at: http://www.actualitesdroitbelge.be/presse/les-transporteurs-aiguisent-leurs-armes-contre-uber#sthash.picyftR3.dpuf

FROM OMNI AUTO (ITALY):

***Taxi vs Uber, sindacati di tutto il mondo pronti all’azione

La due giorni di Bruxelles ha definito una strategia comune e fissato appuntamenti e scioperi

Uber è illegale. Su questo sono d’accordo tutti i sindacati dei trasporti che si sono incontrati a Bruxelles lunedì e martedì. C’erano rappresentanti di Stati Uniti, Canada, India, Asia, Norvegia, Francia, Germania, Inghilterra, Spagna, Belgio e Italia. Per il nostro Paese ha partecipato Marino Masucci, coordinatore nazionale della Fit-Cisl, che OmniAuto.it ha intervistato per sapere come è andato l’incontro e quale strategia è stata messa a punto. Come abbiamo già spiegato la questione è delicata e nasce dalla concorrenza di Uber ai tassisti, che al di là della tecnologia utilizzata (un’auto con autista Uber si chiama tramite app), tocca il delicato capitolo delle licenze, pagate dai taxi fior di quattrini e zero centesimi da Uber (società californiana tra i cui finanziatori c’è Google). E poi c’è la questione UberPop, la app con cui ogni patentato può occasionalmente trasformarsi in autista Uber (cosa che in Italia è stata dichiarata illegale dal Ministro dei Trasporti Lupi). Vediamone di seguito gli ultimi aggiornamenti.

Si comincia con informazione e tecnologia

La strategia comune messa a punto dopo i due giorni trascorsi a Bruxelles, come ci ha raccontato Masucci, prevede innanzitutto un’azione a livello mondiale di informazione e comunicazione, “per evitare che Uber grazie ad un’abile manipolazione comunicativa, riesca a far passare il messaggio di modernità, e nuova tecnologia; mentre nei fatti nasconde la volontà di non voler rispettare le normative regolative e le leggi e i contratti a tutela dei lavoratori e dei consumatori. Il tutto seguendo ormai una moda di deregolamentazione oggi molto in voga in ogni parte del globo”. Allo stesso tempo l’associazione mondiale delle aziende Taxi (URI) ha presentato in anteprima il progetto GNT (Global taxi service Quality network) che ha l’obiettivo di realizzare una nuova piattaforma tecnologica a livello mondiale per costituire “una app legale che consenta di coniugare i diritti e il rispetto delle norme e delle regole con la domanda di qualità e i nuovi bisogni degli lutenti/clienti”, come la descrive Masucci. A novembre l'URI presenterà il progetto a Colonia, intanto il sindacato nazionale tedesco di settore ha promosso la costituzione di una app valida su tutto il territorio nazionale.

Il calendario delle proteste

Per il 24 settembre è stato indetto a Londra uno sciopero nazionale con manifestazione. Ai primi di ottobre invece ci sarà un nuovo incontro organizzato a livello internazionale a Bruxelles dall’ETF, che porterà il problema all’attenzione del Parlamento Europeo nell’ambito del Dialogo sociale, e in occasione della settimana di mobilitazione dei lavoratori dei trasporti, organizzata dall’ITF, il tema sarà inserito tra quelli da affrontare. Infine, “tutti i sindacati presenti alla riunione sono stati invitati dal Segretario Generale del settore, Marc Iurata, a creare una rete di comunicazione e di banca dati di tutte le iniziative che si terranno nei singoli Paesi nei prossimi mesi. La riunione è finita nella mattinata del 16, con l’intesa di rivedersi per una nuova riunione che si terrà nei prossimi mesi”, ci ha detto Masucci.

Nel frattempo Uber torna in Germania e sbarca a Genova

Dall’altra parte della barricata Uber non sta a guardare. Dopo Milano e Roma adesso è attivo a Genova e le proteste non tarderanno ad arrivare visto che la questione è ancora aperta e non c’è alcuna regolamentazione precisa. Intanto in Germania il giudice Frowin Kurth della Corte regionale di Francoforte, pur riconoscendo la validità della sua decisione nel merito, ha ritenuto non necessaria l'ingiunzione temporanea.

GOOGLE TRANSLATION:

Taxi vs Uber, trade unions around the world ready for action
The two-day Brussels has defined a common strategy and set appointments and strikes
published September 18, 2014
Eleanor Lilli

Taxi vs Uber, trade unions around the world ready for action
Uber is illegal. On this I agree with all the transport unions who met in Brussels on Monday and Tuesday. There were representatives of the United States, Canada, India, Asia, Norway, France, Germany, England, Spain, Belgium and Italy. For our country has participated Marino Masucci, national coordinator of the Fit-CISL, which OmniAuto.it interviewed to find out how the meeting went and what strategy has been developed. As we have already explained the issue is delicate and arises from the competition of Uber taxi drivers, that beyond the technology used (car and driver Uber is called by app), touches the delicate chapter of licenses, paid by taxi good money and zero cents from Uber (California company among the lenders which is Google). And then there is the issue UberPop, the app with which every licensed driver may occasionally become Uber (which in Italy has been declared illegal by the Minister of Transport Wolves). Let's see below the latest updates.

It begins with information and technology

The common strategy developed after two days in Brussels, as she told us Masucci, provides first global action on information and communication, "to prevent Uber thanks to a clever manipulation of communication, be able to pass the message of modernity and new technology; when in fact hides the intention not to comply with the regulations and regulatory laws and agreements to protect workers and consumers. Everything now following a trend of deregulation today very popular in every part of the globe. "At the same time, the worldwide association of companies Taxi (URI) unveiled the project GNT (Global Quality taxi service network) which aims to develop a new technology platform in the world to establish "a legal app that allows combine the rights and compliance with the rules and regulations with the demand for quality and new needs of lutenti / customers ", as described by Masucci. In November, the URI will present the project in Cologne, meanwhile, the National Union of German industry has promoted the establishment of an app valid throughout the national territory.

The calendar of protests

For September 24 has been called a national strike in London with the event. In early October instead there will be a new meeting organized at the international level in Brussels by the ETF, which will bring the issue to the attention of the European Parliament in the framework of the Social Dialogue, and during the week of mobilization Transport Workers, organized ITF, the theme will be included among those to be addressed. Finally, "all the unions present at the meeting were invited by the Secretary General of the sector, Marc Iurata, to create a communication network and database of all the initiatives that will be held in the individual countries in the coming months. The meeting ended in the morning of the 16th, with the agreement to meet again for another meeting to be held in the coming months, "he said Masucci.

Meanwhile, back in Germany and Uber arrives in Genoa

On the other side of the fence Uber is not watching. After Milan and Rome is now active in Genoa and the protests will start showing up as the question is still open and there is no precise regulations. Meanwhile in Germany, the court Frowin Kurth Regional Court in Frankfurt, while recognizing the validity of its decision on the merits, did not consider it necessary temporary injunction.

FROM LAVENIR (BELGIUM):

Uber permet de trouver un covoitureur depuis un smartphone. D’où la crainte du secteur des taxis.

Uber permet de trouver un covoitureur depuis un smartphone. D’où la crainte du secteur des taxis.

AFP

Pour faire face à Uber, les acteurs des transports européens vont créer une plateforme de communication. Ils prévoient aussi des actions pour lutter contre ce qu’ils appellent «la concurrence déloyale» du système de covoiturage privé.

Une concertation sur le service de transport privé Uber organisée par la Fédération internationale des travailleurs du transport (ITF) s’est tenue lundi et mardi au siège de l’Union belge du Transport (UBT), une centrale de la FGTB, à Bruxelles.

Au terme du séminaire, quinze groupements syndicaux issus de onze pays, dans lequel l’app de covoiturage s’est implantée, se sont accordés sur la création d’une plate-forme de communication internationale afin de faciliter leur communication. «Nous prévoyons également de nous rencontrer à nouveau afin de fixer des actions de sensibilisation», a indiqué Philippe Lescot, représentant de la CSC-Transcom.

Des actions de sensibilisation seront fixées durant la rencontre du secteur des transports européens qui se déroulera les 1er et 2 octobre. «Aucun calendrier précis n’a actuellement été fixé», a précisé M. Lescot.

Concurrence «déloyale»

Des représentants syndicaux venus du monde entier ont participé à la réunion aux côtés de fédérations patronales. Des groupements issus des États-Unis, du Royaume-Uni, d’Inde, du Canada, d’Allemagne, des Pays-Bas, d’Italie, du Danemark, d’Espagne ou encore de France étaient ainsi présents. Ensemble, ils ont tenté de dégager des pistes afin de faire face à la concurrence jugée «déloyale» d’Uber sur base d’un échange de leurs expériences.

Le représentant de la CSC-Transcom a également annoncé une rencontre à la mi-octobre entre les organisations syndicales des taxis et le ministre bruxellois de la Mobilité, Pascal Smets. «Nous y aborderons la problématique d’Uber, ainsi que les dérégulations que son arrivée a entraînées au niveau des services de taxis. Il faudra trouver un moyen de faire face à cela et de s’adapter», a expliqué M. Lescot.

Le secrétaire fédéral UBT, Frank Moreels a répété que les taxis ne sont pas opposés aux nouvelles technologies, mais bien aux pratiques «illégales». «Les utilisateurs d’Uber doivent être conscients des risques encourus lors des déplacements, tels que l’absence d’assurance adéquate pour le passager.»

Les actions de sensibilisation devraient se concentrer sur la question de la sécurité des passagers, conclut M. Lescot.

FROM PRESA (ROMANIA):

***Probleme in Portul Constanta cu membrii echipajului navei Iron Baron V sub pavilon Panama

Un navigator filipinez de pe nava Iron Baron V sub pavilon Panama mai a facut o plangere pentru plata la zi a salariilor la Inspectoratul ITF Romania International Transporters Federation .Navigatorul si a terminat contractul si urma sa fie repatriat din Romania. In urma demersurilor efectuate de inspectirul ITF Romania, navigatorul a fost imediat platit la zi de catre companie inaintea repatrierii.Cu aceasta ocazie s au mai descoperit probleme de intirziere 2 8 luni la plata salariilor celorlal...

Citeste articolul integral pe: Ziua De Constanta

FROM MM&P WHEELHOUSE WEEKLY:

***ITF SLAMS THAILAND FOR TRIAL OF ACTIVIST IN CHILD LABOR CASE

The International Transport Workers’ Federation (ITF) has condemned the government of Thailand’s attempts to criminalize a British researcher who exposed what many are calling “modern day slavery.” The ITF has demanded that all charges against human rights activist and filmmaker Andy Hall be dropped immediately. The organization describes the trial, which begins this month, as “a national and international embarrassment.”

Hall is facing a civil suit and charges of criminal defamation brought by Thailand’s Natural Fruit Company over his film “Cheap Has a High Price.” The film exposed human trafficking, child labor, forced overtime and violence against workers.

“This trial is indefensible and should be halted immediately,” said ITF President Paddy Crumlin. “Thailand should be acting against the appalling treatment of workers, not victimizing one of the people who rightly brought this awful state of affairs to wider attention.” He says Thailand itself, not the filmmaker, should be put on trial over the abuses Hall uncovered in his investigation.

FROM RTBF (BELGIUM):

  • Une concertation sur le service de transport privé Uber organisée par la Fédération internationale des travailleurs du transport (ITF) s'est tenue lundi et mardi au siège de l'Union belge du Transport (UBT), une centrale de la FGTB, à Bruxelles. Au terme du séminaire, quinze groupements syndicaux issus de onze pays, dans lequel l'app de covoiturage s'est implantée, se sont accordés sur la création d'une plate-forme de communication internationale afin de faciliter leur communication. "Nous prévoyons également de nous rencontrer à nouveau afin de fixer des actions de sensibilisation", a indiqué Philippe Lescot, représentant de la CSC-Transcom.

Uber: "Les syndicats des transports prévoient des actions" - BRITTA PEDERSEN - BELGAIMAGE

Des actions de sensibilisation seront fixées durant la rencontre du secteur des transports européens qui se déroulera les 1er et 2 octobre. "Aucun calendrier précis n'a actuellement été fixé", a précisé M. Lescot.

Des représentants syndicaux venus du monde entier ont participé à la réunion aux côtés de fédérations patronales. Des groupements issus des Etats-Unis, du Royaume-Uni, d'Inde, du Canada, d'Allemagne, des Pays-Bas, d'Italie, du Danemark, d'Espagne ou encore de France étaient ainsi présents. Ensemble, ils ont tenté de dégager des pistes afin de faire face à la concurrence jugée "déloyale" d'Uber sur base d'un échange de leurs expériences.

Le représentant de la CSC-Transcom a également annoncé une rencontre à la mi-octobre entre les organisations syndicales des taxis et le ministre bruxellois de la Mobilité, Pascal Smets. "Nous y aborderons la problématique d'Uber, ainsi que les dérégulations que son arrivée à entraîné au niveau des services de taxis. Il faudra trouver un moyen de faire face à cela et de s'adapter", a expliqué M. Lescot.

Le secrétaire fédéral UBT, Frank Moreels a répété que les taxis ne sont pas opposés aux nouvelles technologies, mais bien aux pratiques "illégales". "Les utilisateurs d'Uber doivent être conscients des risques encourus lors des déplacements, tels que l'absence d'assurance adéquate pour le passager."

 

  • Les actions de sensibilisation devraient se concentrer sur la question de la sécurité des passagers, conclut M. Lescot.